Rugby
Les Français ont gagné samedi à Rome sans être brillants. Une constante sur ce Tournoi des six nations où, paradoxalement, ils pourraient terminer à la deuxième place derrière l'Angleterre.
Pour relancer les Bleus, qui affrontent l’Italie ce samedi, Bernard Laporte, patron de la FFR, ressort l’idée polémique des «contrats fédéraux».
La victoire des Bleus 22-16 répond à la logique sportive mais n’offre aucune raison d’espérer voir le XV de France jouer un rôle de premier plan lors du tournoi.
Opposée dimanche à la France après un premier match victorieux face à l’Irlande, l’Ecosse arrive en confiance, et visiblement débarrassée de sa fébrilité quant à la nationalité de son entraîneur.
Les Anglais pas bons mais qui gagnent, les Français plutôt bons mais qui perdent. Le Tournoi des Six Nations démarre dans la perplexité générale.
Le manager italo-argentin du Rugby club toulonnais saute trois mois et demi après sa prise de fonction, sur fond de climat délétère dans les coulisses de Mayol.
«L'Equipe» a révélé que des traces de corticoïdes ont été trouvées chez Carter, Rokocoko et Imhoff après la finale du Top 14. Les joueurs seraient en règle.
Ces produits interdits en compétition sans autorisation ont été détectés chez Dan Carter, Joe Rokocoko et Juan Imhoff. Le club francilien affirme qu'il n'est pas question de dopage.
Le club francilien s'est incliné 21-9 face aux Anglais samedi à Lyon.
L'équipe francilienne est allé battre Leicester en Angleterre 19 à 16 et affrontera les Saracens en finale.
