Monde
Une Indienne de 70 ans a donné naissance à son premier enfant après avoir eu recours à une fécondation in vitro.
Daljinder Kaur, une Indienne [more…]
Jour après jour, le cabinet du professeur Tolly Sy, gynécologue et chef de la maternité d’un des deux hôpitaux de Conakry, capitale de la Guinée, [more…]
L’écrivain algérien retrouve des similitudes entre l’Algérie de la fin des années 80 et la France d’aujourd’hui : «Une montée rapide de l’islamisme, des clivages forts au sein de la société, des pouvoirs qui n’assument pas ou affaiblis par des alliances militaires ou économiques qui les rendent muets.»
Les attentats-suicides de samedi pourraient avoir été commis par des jihadistes appartenant à ces mêmes groupes armés syriens qu’Ankara a soutenus.
Le président turc, qui avait pourtant lancé des réformes démocratiques et ouvert un processus de paix avec la guérilla kurde, a fait basculer le pays dans un nouveau cycle de violences.
Depuis trois mois, les affrontements ont repris entre le PKK et les forces armées d’Ankara. Mais les rebelles ont annoncé samedi un cessez-le-feu jusqu’aux élections du 1er novembre.
La mobilisation des républicains, dimanche, devrait empêcher le FPÖ de s’emparer de la capitale autrichienne.
Selon l’universitaire turc, le président Erdogan «a créé les conditions pour que le parti prokurde soit visé». Mais il rappelle qu’«il n’y a aucune preuve que le pouvoir ait organisé ou même favorisé un tel attentat».
Samedi, la Corée du Nord a commémoré les 70 ans du Parti des travailleurs, pilier central du régime des Kim. Un raout marqué par une tentative de rapprochement avec la Chine, allié devenu plus distant.
Pour l’universitaire turc Ahmet Insel, le président Erdogan «a créé les conditions pour que le parti prokurde soit visé». Mais il rappelle qu’«il n’y a aucune preuve que le pouvoir ait organisé ou même favorisé un tel attentat».